L'amour, Toujours l’amour. Ce sentiment Qui vous prend du d’dans, Et qui vous déchire, Vous éparpille De joie et de bonheur D'extase et de grandeur. Toute partie de son âme Ressent s'allumer l’ancienne flamme Qui vous consume alors d'instants en instants. On se sent au firmament : Les étoiles brillent, Le cœur qui chavire Et le noir qui fait jaillir, Ton étincelant sourire. Les rêves, sont de toute beauté, Et l'on ne sait que rêver. Alors, tout s'émerveille. Et plus jamais l'on ne se réveille. L'on ne voudrait jamais, d'ailleurs. Car avec elle on est ailleurs. Dans ce monde aux milles rivières, on dort, On dort, encore, et encore. On se perd dans ce regard. Le noir n'est plus noir Et l’on se laisse guider par le son de sa voix. Sa voix qui créer en nous tous ces émois : Émois magnifiquement, Émois totalement. Et toi à qui je voue mon âme et ma vie, Et toi, à qui à tout jamais je souris. A nous deux, on est un, Et le destin n'est plus défunt. Non, il renaît par notre union, Fait fondre les saisons. Les étés assèchent notre cœur Et les fleurs tombent de malheur. Si le froid est paresse, Les fleurs un jour renaissent. L’amour combat le temps, Et nous redevenons enfants, Qui, aiment si facilement, Qui aiment, tout simplement.