Entre nos lignes
T’as posé tes yeux comme on pose un piège,
Pas un mot, mais un gouffre, un manège.
Tu joues à rien dire, je feins d’ignorer,
Mais entre deux silences, tu m’as déshabillé.
On est sages… en apparence,
Mais sous la table, ça danse.
Tes phrases ont des courbes,
Et ton souffle, des urgences.
Alors viens,
Qu’on écrive sans stylo,
Qu’on se parle sans les mots,
Qu’on respire un peu plus haut.
Viens,
Oublier les convenances,
Glisser dans l’imprudence,
Et jouir de l’élégance…
D’un frisson.
T’aimes les détours, moi les esquisses,
J’lis ton envie comme on lit un vice.
Ton rire s’accroche à mes pensées,
Et mes mains rêvent d’improviser.
On joue doux, mais le feu grimpe,
Sous les sourires, y’a l’empreinte.
T’as des secrets dans les hanches,
Et j’ai des envies de revanche.
Alors viens,
Qu’on s’égare sans GPS,
Qu’on explore nos faiblesses,
Sans prudence ni paresse.
Viens,
Faire du chaos une danse,
Inventer l’impertinence,
Et goûter à l’indécence…
En silence.
Touche-moi, là,
Pas avec les doigts.
Avec ce regard
Qui me défait sans bouger.
Fais-moi perdre le nord,
Mais sans jamais me brusquer.
Alors viens,
Plus besoin de promesse,
Juste un souffle, une caresse,
Et l’oubli qui nous confesse.
T’as posé tes yeux comme on pose un piège,
Pas un mot, mais déjà le sortilège.
Tu joues à rien dire, je fais semblant d’ignorer,
Mais entre deux silences, tu m’as presque déshabillé.
On est sages… en apparence,
Mais sous la table, ça danse.
Tes phrases ont des courbes,
Et ton souffle, des urgences.
Alors viens,
Qu’on écrive sans stylo,
Qu’on se parle sans les mots,
Qu’on respire un peu plus haut.
Viens,
Oublier les convenances,
Glisser dans l’imprudence,
Et jouir de l’élégance…
D’un frisson.
T’aimes les détours, moi les esquisses,
J’lis ton envie comme on lit un vice.
Ton rire s’accroche à mes pensées,
Et mes mains rêvent d’improviser.
On joue doux, mais le feu grimpe,
Sous les sourires, y’a l’empreinte.
T’as des secrets dans les hanches,
Et j’ai des envies qui penchent.
Alors viens,
Qu’on s’égare sans GPS,
Qu’on explore nos faiblesses,
Sans prudence ni paresse.
Viens,
Faire du chaos une danse,
Inventer l’impertinence,
Et goûter à l’indécence…
En silence.
Touche-moi, là,
Pas qu’avec les doigts.
Avec ce tout ton corps
Qui me défait sans bouger.
Fais-moi perdre le nord,
Sous cette douche dorée.
Alors viens,
Pas besoin de promesse,
Juste un souffle, une caresse,
Et la nuit pour maîtresse.
