« En ce matin d’octobre, un nuage de rosée s’étendait sur la plaine.. »
En ce matin d’octobre, un nuage
De rosée s’étendait sur la plaine..
Mes rêves à cette heure matinale
Étaient bilieux mornes peu sages
Et délirants en cette journée pleine
De tracas nourris du vague à l'âme
De cette saison terne et marginale
Au loin la forêt au repos grisonne
Et les prés chaulés frissonnent
Voilà que se profile l'hiver lugubre
Et glacé avec jà ses gelées ornant
D'un contour opalin permanent
Les flaques d'eau insalubres
Voici venu le temps de la quiétude
Hivernale une sorte de béatitude
Où la neige longtemps perdure
Recouvrant toute la verdure
Les Maisonneries II.20
Mon écrit est un poème pas une nouvelle en prose.
comme proposé Celle-ci devra impérativement commencer
par l’incipit suivant:
« En ce matin d’octobre, un nuage de rosée s’étendait sur la plaine.. »
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