Le terroriste, armé d’une fièvre démente, Se prépare à jeter une bombe sanglante Dans un bruyant wagon bondé de travailleurs Sacrifiés sur l’autel de sa noire ferveur. Aveuglé par sa foi, le sombre énergumène S’apprête à déclencher une épouvante obscène Dans l’antre du métro peuplé d’Occidentaux Que son engin de mort terrassera bientôt. D’une main assurée par son âpre croyance, Il fauchera la vie d’inconnus sans défense.