Viens t’asseoir près de moi sur le banc Pose ta tête lourde sur mon épaule Même si je pleure des larmes de sang J’aime ce banc à l’ombre du vieux saule
Des cris perçants déchirent mes entrailles Mes lèvres sont closes et personne n’entend. Mon regard vide vogue au delà du portail, Un corps sans vie est assis sur ce banc !