Nous avions de l’amour épuisé la folie Haletants et comblés nous reposions tous deux Jambes entrelacées, le bonheur dans les yeux. Le plaisir te rendait encore plus jolie !
Le soleil s’enrageait au bois des jalousies De la chambre dédiée à nos jeux amoureux Cordoue nous attendait, mais je n’étais curieux Ni de ses vieux quartiers, ni de l’Andalousie.
La chaleur du mois d’août brûlait dès le matin L’Alcazar, où bruissait pourtant l’eau des fontaines. Nous avions salué Isabelle la reine
Dans l’allée de cyprès alentour des bassins, Mais tout l’après-midi, dans la chaleur qui tremble Au bois des jalousies, nous voyagions ensemble…