J'arrache tous ces mots de mon âme souffrante J'en arrache les maux pour ne penser qu'à toi. Je voudrais, du destin, tuer ce qui me hante Je voudrais...je voudrais...te rejoindre parfois !
Les cris de désespoir, les larmes, je les cache Je souris et je chante et je parle de toi A ces heures passées sans cesse je m'attache J'en arrache les maux pour ne penser qu'à toi.
Le feu de tes yeux verts brûle dans ma mémoire Je le retrouve aussi aux yeux de mes amours Petits-enfants chéris, bourgeons de notre histoire Roses dans mon jardin aux plus doux de mes jours !