Ah, que vous pissassiez monsieur sur mes savates Infestant de ce fait les airs tout alentour Je ne puis l’accepter, et vous dis sans détour Que je vous ôterai le foie et puis la rate
Sans aucune pitié, nulle miséricorde Je vous dépouillerai de vos plus beaux atours Et j’irai vous fouillant pour enfin mettre à jour Ces boyaux qui déjà sous mon couteau se tordent
Pour un violon tout neuf que je vais équiper De vos boyaux séchés qui seront fières cordes Que je ferai grincer pour appeler la horde Des chiens fous, aux enfers où vous irez brûler !