De ses petits farcis, nous étions devenus Acros, fans absolus, dès lors que les vacances Nous permettaient enfin, sans nulle retenue De venir à sa table et de faire bombance !
Cannibales d’amour , nous dégustions son cœur Aux herbes mélangé en cette farce fine Et nous en savourions l’indicible douceur Et l’âme, voyageant à travers sa cuisine !