« Montez, montez », susurrais-tu Et je te trouvais demie-nue Essayant des poses languides Et tes émois servaient de guide A mes désirs trop retenus Car tu appréciais la tenue, Et tu demandais dans la chose Des douceurs et de longues pauses Qui me maintenaient pantelant… Et quand je roulais haletant Au bord du lit de nos délices Où si souvent j’entrais en lices : « Mon thé, mon thé », susurrais-tu ! Et dans la cuisine, tout nu, Je cherchais aux vapeurs du thé Les senteurs de ta nudité.