J'aime cette saison à nulle autre pareille Et le moutonnement des collines au loin Je songe au temps béni où tu tenais ma main Où l'avenir pour nous semblait alors sans fin, Mon beau, mon tendre amour Qui m'a laissé sur terre Toujours marchant vers toi que je ne puis rejoindre, Scrutant l'éternité tout au bout du chemin...