Je répondais à tes invites Et je vivais en sybarite Dans la sylve et le chevelu De tes beaux jardins suspendus. L’ambre, le musc et la civette Hantaient les ardeurs de nos fêtes Où, à cœur et à corps perdu Nous nous usions sans retenue ! Lorsque tes cheveux épandus Recouvraient tes épaules nues J’explorais ton Amazonie J’allais jusqu’en Patagonie Et plongeais en Terre de Feu Où je me consumais, radieux Au volcan de nos voluptés Jusqu’à l’heure douce du thé…