Immense et souverain au-dessus de nos têtes, Le ciel, inaccessible à toute main tendue Fut pour l’homme un défi. Il en fit la conquête en inventant un jour Ces oiseaux fulgurants, qui depuis N’ont cessé de parcourir le monde Sans cesse plus rapides Et plus impressionnants !
Mais le petit enfant qui joue, après l’ondée Et patauge ravi, avec des cris d’oiseau, Connaît tout du grand ciel, qui, descendu sur terre, Est venu se mirer dans une flaque d’eau…