Quand le rideau se baisse Et que l'élan se meurt La danseuse épuisée tombe, Telle une fleur; La grâce de son corps Ne flétrit même pas Car c'est un don sacré Qui dirige ses pas Et sublime sa vie Malgré douleur et larmes. La danseuse épuisée Ne jette pas les armes Mais se recueille, là, Sublime fleur coupée Mais qu'un élan divin Saura ressusciter !