Le cœur en bandoulière et le sourire en larmes Sous le mur du chagrin j’ai déposé les armes Compris qu’il était vain de ronger ma douleur Et m’ouvrant à la vie, j’ai dit oui au bonheur
Bonheurs de tous les jours, petits bonheurs tout bêtes Simples comme bonjour avec leur air de fête Entr’ouvrir pour l’espoir les fenêtres fermées Par cette douleur noire et depuis tant d’années.
Serrer les mains tendues, savourer les sourires S’ouvrir, sans présumer de ce qu’il reste à vivre Retrouver sans chagrin les photos du passé Revivre notre amour sur les pages glacées .