Tes mains ont ceinturé ma taille, j’ai senti ton souffle sur ma nuque et tes baisers ont fait virevolter mon cœur. Tu m’as serrée si fort contre toi que l’ardillon de ta ceinture est entré dans ma chair, et la souffrance m’a fait chanceler . Mais cette souffrance-là fut d’autant plus délicieuse qu’elle annonçait pour moi bien d’autres voluptés..