De ses hanches galbées, de ses beaux seins pointus Je me souviens toujours…Allongée, belle et nue, Le flot de ses cheveux retombant librement, Elle était ma Vénus sous mes baisers fervents.
Je l’adorais autant qu’on adore un idole ! De son pied délicat, au galbe de l’épaule Je posais des baisers inventifs et légers Amenant son désir d’amour à l’apogée
Je dirai la saveur de sa peau de satin Le feu de son plaisir, la houle de ses reins, Mon souvenir est vif pourtant de ses caresses
Mais lorsque je revois nos ébats amoureux, Seule me vrille encor la splendeur de ses yeux Qui versait en mes yeux le miel de la tendresse…