Il n’y a que la main et le regard sans doute Qui puisse détailler la somptuosité Des ces fesses renflées qui mettent en déroute Maint quidam attiré par la curiosité
Ces chairs que le soleil et la pure lumière Ont paré des plus beaux coloris du couchant Pourpre et or distillés en subtiles poussières Quand saigne le soleil à ces derniers moments
Les courges en splendeurs sont de tous nos jardins Les joyaux rutilants, les bijoux que révère Le jardinier rêvant à ces futurs festins Où leur chair sacrifiée sublime la soupière !