Sur ce mur, Que de sensualités, que d’opulences. Que de mots rebrodés de fleurs. Que de révoltes, que de souffrances. Que de câlins, que de peurs.
Derrière ce mur, Que de souffles mélangés avec les bulles du temps. Que de personnes réduites à une simple vision. Que de veines fourchues dans le silence. Que d’ombres flottantes en partance.
Sur ce mur, Que de couleurs dans le noir. Que de rêves dans l’espoir. Que de lointains ailleurs, Dans la lueur de ces cœurs !