Lorsque s’était ouverte cette porte noire Mes pensées fourmillaient me soufflant des histoires. Pourrais-je te séduire ou était-ce illusoire ? T’embrasserais-je dans la chaleur de ce soir ?
Assis là comme captivé par ce sourire, Le temps, l’espace, se résument à cet instant. Simplement happé par ton aura qui m’attire, Guettant le signe de tes sentiments latents. Empli de désir, j’approche jusqu’à toucher Ta nuque délicate de ma main tremblante. Une seconde comme une heure terrifiante. Tu te tournes enfin pour m’offrir un long baiser.
Tous les mots se changent soudain en gestes doux, Nos corps s’accrochent et se demandent plus que tout, L’envie nous presse de redoubler de caresses, La nuit nous laisse nous aimer dans la tendresse.
