Elle était entrée dans ma vie un jeudi. Ce n’était pas un matin, ni un midi. Mais par une sombre nuit. Semant le doute dans ma triste vie.
Comment avais-je pu me laisser aller ainsi ? Moi qui vivais au jour le jour. Etais-ce son sourire angevin. Qui m’avait irradié jusqu’aux reins?.
Elle sortait d’une chimio qui l’avait dévastée et amaigrie. Mais elle était pourtant tellement radieuse. Elle avait pénétré ma carapace. Et, ce avec tellement de grâce.
Ses yeux, son regard, ses deux prunelles. Envoyaient tant de signaux à mon cœur. Qu’en un instant j’avais pris sa main. C’était une déesse tellement belle.
Comment avais-je fait. Moi, le timide, le timoré. En me disant « ce n’est pas l’heure ». Mais sans penser à demain mon cœur.