Sous le tapis végétal se glisse la mousse. Pour les insectes un étrange paradis. Niché dans le creux du lit. Sur cette étendue se trouve la nymphe Eulalie.
Etendue, nue, recouverte d’une écharpe de mousseline. Belle comme un diamant brut qui scintille. Elle s’offre au ciel et au soleil. Jouissant de sa peau de soie lisse.
L’océan en promiscuité, lui offre quelques vaguelettes. Comme des larmes qui se répandent d’humidité. Projetées par le vent coquin. Un étrange miroir se reflète à perte de vue joueur et serin.
Comme un écrin qui voudrait l’enserrer. La garder pour l’éternité prisonnière de ses mains. Il l’observe et l’épie de ses yeux mystérieux. Se cachant en partie de ce lieu bien loin.