Dans la douceur de l’automne qui s’installe. Tout doucement, une à une tombent les feuilles. Sous la poussée du vent qui lourdement pédale. Il n’a pas de limite, détruisant et ouvrant le deuil.
Tandis que se mêlent les odeurs de chèvrefeuille. A nos nez gourmands de sensations fortes. Ouvrons grand nos narines et nos portes. Laissons passer ce temps des marrons et des feuilles.
Heureux, près du feu de bois, près de la cheminée. Nous nous reposons de nos longues journées. Dehors, il souffle le bougre, faisant un boucan d’enfer. Mais nous, qui nous nous croyons à l’abri nous sommes amers.
Dans la demeure, le chat ronronne près du feu qui crépite. Puis subitement, se met à tourner en rond et fonce vite. Qu’a-t-il donc entendu que nous ne percevons. En ce lieu, la maison est pourtant silencieuse et un doux cocon.
Heureuse de pouvoir de nouveau créer des poésies. Je me mets à l’ordinateur et écris. Mon cœur serait-il de nouveau amoureux. Ou alors voudrait -il que tout soit silencieux ?.
