Il n’est pas de matin qui n’ai pas vu ma reine. Elle était tellement belle dans son corset de satin. Lorsque tour à tour, je l’enveloppai de mes mains. Devant moi dans sa nudité la plus complète et saine.
Je l’adorais jour et nuit sans peine. Retroussant ses jupons à dentelles. Je passais mes soirées comptant ses veines. Pendu à son porte-jarretelles.
Caressant avidement ses seins. Descendant tour à tour jusqu’à ses reins. Frôlant jusqu’à son sacré saint. Prenant mon plaisir au détriment du sien.
Je l’ai vu mourir de plaisir. S’effaçant pour le mien. Elle était celle que j’avais choisi. Je ne regrette à ce jour rien.