Lorsque la nuit je m’enfuis vers mes rêves. Je m’endors alors profondément vers les rives. Un peu endormie par ton parfum qui m’enivre. Je jette l’ancre de mon bateau qui vogue vers la grève.
Ce n’est qu’au petit matin que je m’éveille. Face à ces troubles de l’insomnie. Qui viennent me perturber la nuit. Et, alors surgissent les démons éternels.
Un voile s’est posé sur mes paupières. Lourd de sens je vois la mer. Les sanglots perturbent mes sens. Le bateau sombre corps et biens.
Ce n’est que l’amour détruit. Qui vient hanter ma fin de nuit. L’espoir de te revoir n’est plus envisagé. Disparu tu es, je voudrais mourir.
Comme une planche de salut. J’essaie de me raccrocher à une planche. Combien font souffrir les amours ainsi perdus Comme un serpent autour de moi et je flanche.
Aimer c’est souffrir. Aimer c’est partir dans d’autres aventures. Dans une étreinte je voulais vivre. Mais la vie m’a brisée et je ne peux survivre.