Qu’il était doux ce temps cher ami. Le jardin était d’une telle splendeur. Et, était si cher à votre cœur. Que je ne peux l’oublier vous et lui.
Le vent entrait dans les peupliers. Et, berçaient gentiment les feuilles ocrées. Mélancolique et douce les yeux je fermais. Sous la pergola enserrant les rosiers.
Vous me preniez alors la main. Et nous marchions ainsi le long du chemin. Oisive je ne sais mais surtout admirative. De vos créations réussies et splendides
Assis près de la fontaine nous bavardions. Et, admirions sans conter les allées. Dans le vent de l’été nous contemplions Ce miroir où se reflétait la beauté.
Le temps a passé depuis longtemps. Aujourd’hui, il ne reste que notre amitié. Qui elle a survécu aux rides du temps. Merci à vous de l’avoir préservée.