Voilà qu’entre en scène dans le clair matin. Le fermier avec son nez aquilin. Il organise le ramassage de la moisson. Comptant en une journée travailler à foison.
La terre toute durcie sous l’impact du manque d’eau. Crie et supplie qu’on l’abreuve à satiété enfin. Est-ce ainsi maintenant son destin ?. Même au loin, s’abreuve les bestiaux.
Le soleil tape dur sur sa tête et sur le sol. Tandis que dans le ciel s’élèvent les tournesols. Le soleil est resplendissant à midi. C’est l’heure de la pause pour lui.
Ce soir le sommeil enveloppera la terre. Le soleil quittera la vallée. Tandis que sortiront pour se rafraîchir les vers de terre. Demain le long labeur sera à recommencer.