A quoi me servent ces pleurs. A me percer le cœur. Quand vient la nuit me vient cette douleur. Dites-moi tendre ami pourquoi ?
Minuit à la pendule a sonné. Et, hélas, mes heures sont comptées. Je me sens meurtri et angoissé. Pourquoi tant d’insomnies me guettent.
Pendant la nuit j’ai refait le monde. Je suis entré sans vouloir dans la ronde. Le temps m’a englouti et me sonde. Ô vilenie, je me sens si ronde.
La graisse m’oppresse le ventre. Je me sens si épaisse et à la fois si tendre. Ais-je trop mangé ce soir Alexandre ?. Je peux vous jurer que l’on ne m’y reprendra plus.