Penchée à la fenêtre je regarde le jardin. Ce printemps il sera rempli de violettes. Rien de tel que le parfum du lilas et du romarin. Fleurirons bien d’autres espèces telles que les pâquerettes.
Ô agréables senteurs où êtes-vous. J’aimerais tant vous apercevoir déjà. Les colchiques sont encore dans les prés derrière chez nous. J’entraperçois les arbres fruitiers et le mimosa.
Couleurs variées telles que les Iris. Les tulipes, les roses, le forsythia. Je me souviens de ce bel oiseau l’Ibis. Penché près de la mare aux nénuphars.
Il n’est jamais revenu de son long voyage. Peut-être est-il parti dans les nuages. Tant d’espèces au fil du temps disparaissent. Tout fout le camp comme notre jeunesse.