Malheureux comme les pierres tu erres. Trainant les pieds comme une âme en peine. Tu ne veux plus voir personne tu désespères. Ton chagrin fait peine à voir et tu as de la haine.
Mais regarde dans le ciel le soleil qui brille. Il t’éclate à la figure mais toi tu vois tout en noir. La lune le soir apparaît et scintille. Mais toi tu es dans le déni et le désespoir.
Il faut t’accrocher, des cendres rejailliront le phénix. Change de rue, change de coin, va à Phénix. La roue de la fortune t’attend au coin de la rue. Mais toi, tu es à des milliers de km de là, perdu.
Tu ne crois plus en l’amour. Tu ne penses qu’à te jeter du haut d’un pont. Mais tu tapes dans le foin et tu trouveras des jupons. Il ne faut jamais dire fontaine je ne croirais plus aux beaux atours.
Oui, c’est vrai elle était belle. Mais elle a agi comme une cruelle. Elle t’a saigné à eau et sang comme une sangsue. Mais déjà elle regrette, mais toi elle t’a perdu.
A quoi ça sert de recoller des morceaux brisés. Le vase est à jamais fêlé. Ne retourne pas en arrière. Tourne les talons, montre lui à jamais le derrière.