passer, portant la peine de cette étoile, agonisant par les froideurs d'automne, la poitrine nue, déchirée comme un voile, y arracher une ancienne icône,
chercher toujours de nouveaux Golgotha, dont les hauteurs personne n’a su monter, au milieu de toutes les sombres grottes, chercheur d'un petit rayon qui brillerait,
ne partager ni d’amour, ni de haine, jusqu’à ce jour, quand de la neige couverts, dans l’éternel qui veille nos souterraines, nous rêvons d’être forêts, dans les déserts…