J’ai vu une fleur, dans tes cheveux, Ce n’était qu’un leurre’, rêve amoureux. J’ai vu un éclair, dans tes beaux yeux, C’était des larmes, jours douloureux.
J’ai bien entendu, le silence Entre les mots d’où, venait denses Les impossibles, de l’absence Se dire sans bruit, clairvoyance.
J’ai trop caresser, les frissons peau, Jusqu’aux coins secrets, creux de ton dos. Les parfums du corps, sublimes mots, Éphémères voix, d’un concerto.
J’ai bu tes lèvres, bleues du désir De nos langues vies, à agonir, De nos espoirs fous, à survenir, Au-delà du temps, des avenirs.
Une poussière, reste posée Sur les souvenirs, recomposés, En conjugaisons, à retrouver Belles promesses, du temps percé.