Quand les mers et océans seront nuages En vortex monstres cycloniques surpuissants Nous toucherons la limite fin des âges D’une humanité sidérée en ouragans
Quand les aurores boréales de couleur N’auront de spectateurs que des poissons volants Les chalutiers sur le fond sans pauvres pêcheurs Jetteront leurs filets sur des sables mouvants
Quand les glaces ne seront plus que souvenir De quelques roches érodées de leurs rides Les déserts secs de vents de complainte à gémir résonneront de sons cristallins limpides
Quand le feu surgira lave de nos grands fonds La vie cueillera quelques grains de poussière D’une étoile soleil folle de déraison Mécano hybride d’une nouvelle ère.