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Jean L INFONTE

A saute – mot, praline – maîtresse.

J’ai de nombreuses élèves, à l’école de mes fouilles.
Je suis archéologue.
Je tâte les tessons de toutes ces potiches.
Pauvre fou, qu’elles mentent, qu’elles trichent !
Elles sautent, mes Puces ! A en mourir !
Au loup de leurs bandes, petits carrés de cresson,
Je pêche le Dimanche et je bine, est-ce pire ?
Et que baille ma mite ! Je la couds dans le fonds

A colle folle, je mets l’épée fine..

Ote moi ce doute ! Toi ici qui me broie !
Tu es bien sévère !
N’est ce pas mon roi ? Etre là pour y être drôle ?

Tu me dis ne pas comprendre le sens de mes mots ?
Déplace tes lettres, et vois, tu en goûteras le suc.

Quant au sénateur, à la pâle mine,
Qu’il continue à enfiler les perles, pille garçon, petit mou

Peu te chaut ?
Autant me dire, qu’on te frappe à coup de choux toi et t’aba

Ah je suis bien triste !
Tant de femmes ici. Ont-elles un autre but que celui de se m
Car mon cou est chaud mais boudé.
Et c’est dans sa forme que vous trouverez de quoi l’aider au

Personne ne répond ?
Ah, de solitude je me meurs là mais, avant le beau de la fin

Mes roses sont roses.
Ah ça, ça contre – ute en méthode Assimil !
Mouette, Cocher ! Je ne suis pas non plus fou du volant.
Mais je dis aux durs de l’accueil – flaque :
« Je suis en guerre contre les cerf volants ! «
Moi l’archéologue,
Je retourne me cacher, nom d’une fouille !

Avec Mégère , mais dans quelle étagère ?
Ma piaule s’affine de bien triste manière !

Lâche cette bouille !
Il tient sa douleur en équilibre sur cette cale !
C’est tout !

Avant de nous quitter, écoutez les Annales d’un bus

Heureux, chaque matin, il lui sort le bus.
Qu’Anne, caressée par une brise, pusse
L’ idée, toute émoustillée par l’amant,
Serrer si fort le tout, « Ah, c’est trop !, Ah ces gens ! »