Un matin de Toussaint le petit cimetière Fleuri de San José m’a livré le secret De la tombe anonyme où l’on avait gravé Deux dates et le nom du défunt locataire… Nous étions deux copains, me voilà solitaire Me confia ce jour un homme qui priait Pour que repose en paix le vieil aventurier Dont j’étais à deux doigts de percer le mystère...
Pilote de bolide à Indianapolis Ou marchand de tapis façon Persépolis Notre Alonzo Bridges avait couru le monde Avant de rendre l’âme, ô combien vagabonde, Sur les Hauts d’Ibiza m’avoua ce Yankee Retraçant le parcours de son ami Rocky, Pseudo du dit Bridges qui nous aura laissé En guise d’épitaphe un vers à méditer…
« La vie est un tango qu’il faut savoir danser ! »