Tout est dit En trois mots Après vient le silence Le murmure du vent Le plus léger devient pesant Ta voix grave s'est tue Tu brilles désormais Par ton absence
Des fantômes bientôt Frapperont à la porte Et la feront trembler Nous nous calfeutrerons Dans l'arrière-cuisine Ou dans le grand placard De la salle à manger
Mais bon sang que quelqu'un Fasse taire ce chien Qui joue à la diva C'est encore et toujours Mozart qu'on assassine