Souvent après la tombée des heures sombres Sur les murs lézardés passent des ombres De fleurs honteuses de n’avoir pas Pu s’ouvrir à la lumière du jour
Bruges endormie n’en a a cure Ni les Brugeois cachés dans les recoins sombres Des vieilles maisons qui se mirent dans l’eau Glauque et mystérieuse des vieux canaux Où l’on distingue parfois Comme de la brume filandreuse Des silhouettes silencieuses Toujours en quête du moindre bruit