Quand la mort vient t’enrober De ses linceuls mensongers Qu’elle t’invite perfidement à l’espérance Tu t’accroches à des croyances Imbéciles Tu déraisonnes Et je frissonne J’en ai froid dans le dos
Je t’ai si bien connu Débordant de convictions Et je pleure à présent de te voir glisser En tremblant Vers l’ultime horizon