Il ne faut pas Que tu te précipites La nuit va s’ouvrir Sur les champs de l’amour Et glisser doucement Comme sur du velours Alors que les cœurs A l’unisson palpitent
Il ne faut pas Que tu cherches à fuir La lune est rousse Belle à ravir Et légèrement voilée Le vent coquin la pousse Gloire à l’éternité