Tout pour l’homme Loin s’en faut Ne tourne pas toujours rond Il se trouve souvent en peine Comme Jonas qui Dans le corps d’un poisson Aurait préféré Que son voyage en mer Se déroulât A bord d’une baleine
Et lorsqu’il débarqua Sur le lointain rivage Il se plaignit amer Qu’il n’y fût accueilli Par de jeunes sirènes Privilège dit-on Des marins de tous âges Poussés par les dieux Vers d’autres horizons