Le cœur de la campagne Bat au rythme effréné D’incessants bêlements De poètes mielleux Qui tentent de la chanter En vers doucereux Aux rimes forcées
Pleines d’elles-mêmes Comme à l’accoutumée Les métaphores grasses Tombent dans la poussière Dont les champs Sans l’avoir voulu Se trouvent recouverts Et ne se débarrasseront Sans doute plus Avant les labours De la prochaine année