Deux grands voiliers Dont le premier Se nomme Rencontre Voguent de concert Sur l’océan noir
Le second que l’on croit Plus petit mais qui porte La poisse s’il faut En croire les marins Porte l’appellation Terrible de Désespoir
Dieu fasse qu’au grand jamais Les vaisseaux ne se touchent Que le vent les sépare Et que les flots houleux Les gardent à distance
C’est ici que le dieu Des mers déchaînées Devrait se vêtir Du long manteau vert Des belles espérances Et l’intervention De la Providence Fait l’objet de nos vœux