Quand le vent descend Du haut de la montagne Il refroidit l'ardeur Des amants de la plaine Qui ne décolèrent pas
Et quand leur coupe est pleine Ils s'en vont la vider A l'abreuvoir des vaches Puis sont rassérénés Pour peu de temps
Quant aux bovidés On se moque bien Qu'ils soient contaminés Par les sombres humeurs Des bipèdes humains Qu'importe leur état d'âme Pourvu que le nôtre Se promène Par les chemin heureux Et les routes sereines