Des étoiles en pierre Lui ont rempli le cœur Devenu dur au fil des heures Comme un sac de billes
Une sonbre lumière Du ciel est descendue Et l’a couronné A jamais de douleurs Insoupçonnées
Depuis sa vie n’est plus guère Qu’humilitaion Vaste désert Affectif que nul ne peut maîtriser Mais dont il est à la portée De chacun de mesurer L’immensité de l’étendue
Secrètement on espère Qu’il rencontera Sur la margelle du puits Devant sa maison Un geai des chênes Peu farouche Qui ne s’envolera pas Avant de l’avoir entendu parler Et qu’ensemble ils s’envolorent Vers d’autres contrées Vers d’autres contrées