Comme la fille du meunier Hélas est déjà prise Il faudra Que tu ailles voir ailleurs Rien n’est jamais Gagné d’avance Il faut laisser Les gondoles à Venise C’est l’évidence
Je devine mais dis-moi Si je me trompe Les couleurs de tes pensées Tu vois par-dessus toi Pleurer le ciel Et tu feins d’ignorer Qu’en été La pluie C’est de l’or Pour les champs
Tu vois le monde au travers D’un prisme déformant J’en suis navré Sincèrement