Quand chaque verbe dans ma bouche se rêve un poème Chaque pensée se repense d’une ancienne poésie Dans ces mots presque louches, jaillit mon « je t’aime » De ces silences – camisoles de consensuelles folies
Quand les gens dans la horde, soumis de panique Se rends prisonniers dans leurs âmes ignares Quand les phonos zombies à leur démarche inique Fantasmant de l’abîme, se jettent dans la marre…
Quand mon cœur te cherche à la pointe de l’azur Ebahi je vois, tout en dessous, ce cauchemar Quand mes larmes te dessinent d’un souvenir si pur Le reste, peu importe, prends des ailes, bizarres…
Quand je Vois tout le reste… qu’importe le « Tout » Si tu n’es que l’ombre de l’Amour, de toi-même ?! Je voudrais vous dire, très poliment, que le fou Ce n’est pas le comique… et que ça reste entre nous…