C’est cafardeux de perdre un être super spécial par ce virus, Qui dormait, ronflait quelques parts et qui maintenant vit partout Dans le monde entier. Le coronavirus est contagieux, fou, Et mortel. Ce virus est plus infectieux que la bactérie Bacillus Anthrax. La COVID-19 est invisible, sans scrupules et sournoise. Elle est réveillée par des nigauds qui veulent détruire notre monde. C’est dur de perdre des êtres chers par ce diable infernal qui toise Et qui tue sans discernement les êtres vivants près de la ronde.
C’est pénible de voir mourir un ami, une amie, un frère, une sœur Un oncle, une tante, un père et une mère sans avoir été malades On meurt en masse après une courte maladie. Cela déchire le cœur Les pertes de ces êtres causent de fastidieuses souffrances sur la rade Sur les boulevards, dans les hôpitaux, et même dans les cimetières Cette pandémie a tout changé. Les coutumes ne sont plus les mêmes Le monde entier est en quarantaine, damné sur cette innocente terre Comme des victimes trouvées injustement coupables de blasphèmes.
Perdre des êtres très proches par le coronavirus fait mal jusqu’au fond Du cœur. On est plongé dans l’abysse d’un entonnoir où l’on se noie On ne peut ni nager, ni respirer. On meurt au bas de ce lac sournois La vie n’est plus la même. Les choses vont de mal en pire. Le front Est ciblé de cette lumière invisible qui poisonne, qui punit et qui tue La COVID-19 ne discrimine pas. Elle tue tout ce qu’elle voit : les tortues Les lièvres, les clochards, les riches, les païens, les croyants, les infidèles Et les fidèles. C’est atroce d’être étranglé par celle maladie si criminelle.
P.S. Ce poème est dédié aux victimes du coronavirus (COVID-19). RIP.
