Il n'y avait plus rien ... rien d'autre que le noir La voix que j'entendis alors me réveilla ce triste soir
Venant de mon âme à jamais déchirée Etirant ma douleur que je ne pouvais voiler Caché derrière mes chaudes et tristes larmes Une image, un souvenir me raccroche à mon arme Tant de douleurs s'enfonçant en moi tel un poignard
D'abord tu posas ta douce main sur la mienne Anéantissant ainsi en moi toute haine Ne pourrais-je jamais oublier ton si doux regard? Saurais-je trouver au monde paysages plus beaux?
La lame, que j'étais, avait alors trouvé son fourreau En toi, je trouvais le bonheur qui recouvrait ma colère
Bonheur, que par jalousie, les dieux me retirèrent Offrant alors à mon âme, du bourreaux, le triste destin N'attendant que mon départ pour te pendre, ces assassins Harpes célestes, chantez des dieux la prophétie En échange de ma raison de vivre, eux perdront la vie Un dernier baiser sur tes lèvres maintenant si froides et bl Rien ... rien d'autre que le noir et ma haine envers les di