Poires et madeleines aromatisent mon oxygène Nuances de nacres et de sourires me prennent, Pendant que mes yeux colorent ce tendre rêve Tant bien que mon coeur soudain s'élève
Raillant ces brouillards et infâmes griseries Je me déploie vers d'autres prairies, Où nous touchons la voûte de nos mains Là où le ciel est à portée de chacun
Rhapsodique harmonie du pré sauvage, Verdoyante beauté aux mille visages, Acceuille mon "coeurps" que je pose en ton sein !
Fer ! Terre ! Air ! Eau ! Bois ! Ce sont vos murmures et subtances que je bois, Lorsque mon âme fait son lit dans la prairie