Faut-il que l’on fasse des con-cessions ? Puisque nous n’avons aucune con-naissance Et que nous bâtissons des con-stellations De rêves à con-sumer la nuit ! Et qu’ainsi, au petit jour Tout nous semble con-fus, Car dans le fin fond de nos con-sciences, Le souvenir ne peut ce con-cevoir, On en a oublié le con-tenu.
Alors ne faut-il pas par con-séquent Arrêter de ce con-struire Une vie en ne ce con-sacrant qu’à des futilités ?
Il nous faut braver L’ignorance pour con-stater Que débilité n’est pas notre con-joint Et tel un con-quérant Nous irons con-tourner Les remparts de l’in-con-nu, Pour dire que la mé-con-naissance n’est pas Comme certains aimeraient le croire, Une maladie con-génitale.
Il nous faut de bon con-seils, Sans pour cela (évidemment) Devenir des con-disciples.
Sur ce ! De mon sourire le plus con-centrique, De vous je prends con-gé.